Université de Ouagadougou : de nouvelles infrastructures pour décongestionner le temple du savoir

| 23.01.2014
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Université de Ouagadougou : de nouvelles infrastructures pour décongestionner le temple du savoir
© DR / Autre Presse
Université de Ouagadougou : de nouvelles infrastructures pour décongestionner le temple du savoir
Le ministre des Enseignements secondaire et supérieur le Professeur Moussa OUATTARA a effectué mercredi 22 janvier 2014 dans l'après-midi, une visite des chantiers en cours d'exécution à l'Université de Ouagadougou. Le Pr Moussa OUATTARA a également procédé au cours de cette visite, au lancement de travaux de construction d'infrastructures au profit des universités publiques du Burkina et de l'institut des sciences.

L'Université de Ouagadougou est en plein chantier. Des travaux de construction de nouvelles infrastructures ont été lancés mercredi par le ministre en charge des Enseignements secondaire et supérieur le Pr Moussa OUATTARA. Le coût des travaux se chiffre à 5,330 milliards de FCFA.

Il s'agit principalement de la construction d'un bâtiment pédagogique R+2 et d'un bâtiment de laboratoires R+2 pour le compte de l'Université de Ouagadougou.

Le ministre a pu également visité des chantiers en phase de finition à cette occasion.

Les 244 nouveaux bureaux et les nouveaux pavillons de 2500 places chacun ont également été visités par le ministre en compagnie des premiers responsables des universités et des entreprises chargées de l'exécution des travaux.

L'entreprise AGM développement est le maître d'ouvrage. Selon son directeur Urbain KORSAGA « les travaux sont à une phase de lancement et devront être livrés en septembre 2014 ».

Le ministre a également confié qu'un réseau bitumé d'1km et demi sera construit au profit de l'Université de Ouagadougou. Le président de l'Université de Ouagadougou Karfa BAYO a salué ses efforts du gouvernement.

Dans les jours à venir, le Pr Moussa OUATTARA a laissé entendre que d'autres chantiers seront lancés dans d'autres villes du pays afin de renforcer les infrastructures universitaires.

Harouna MARE

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