En effet, il est de plus en plus courant de voir des écoles privées ''ghettos''. Ce sont des écoles ''non-loties'' (pas de non-lotis), des infrastructures qui laissent perplexes sur leurs capacités à inculquer le savoir à un enfant. Le cadre est inapproprié et laisse à désirer.

D'ailleurs, il y a un cahier de charges en la matière. Mais le ministère prend-il le soin de regarder de visu ce qui est écrit dans le cahier de demande d'autorisation d'ouverture? Pas toujours.

Sinon, des autorisations ne seraient pas données à certains qui en profitent pour arnaquer et escroquer des parents d'élèves. Les personnels enseignants ne sont pas qualifiés, ils ne sont pas rémunérés régulièrement, ce qui écourte brusquement les années scolaires.


En tout cas, c'est bientôt la rentrée et chacun rameute du mieux qu'il peut des parents d'élèves qui sont toujours surpris par cette échéance. Il faut alors, à défaut d'offrir à tous les enfants des places dans le public, être vigilant sur l'offre privée qui est proposée.

Par exemple, les conditions sont-elles réunies dans cette école maternelle et primaire (1ère photo ci-dessus) coincée entre des maisons d'habitation et sans cour de récréation pour les enfants qui aiment gambader? Ou alors c'est sur le balcon que les fillettes vont jouer à la marelle? Il ne faut même pas imaginer que des écoliers turbulents s'amusent à regarder par-dessus les gardes-fous qui ne sont pas, visiblement, élevés. Il y a risque de chutes. Les collégiens de cet établissement (ci contre) ne sont pas mieux lotis. C'est sûr qu'il y a pire ailleurs dans le domaine.

Lougouvinzourim