D'après le quotidien économique, la firme américaine aurait demandé l'approbation des autorités irlandaises pour permettre à ses membres de stocker de l'argent sur le site et l'utiliser pour payer et échanger avec les autres utilisateurs en Europe.
Le Financial Times précise que Facebook a approché au moins trois start-up londoniennes, spécialisées dans les échanges bancaires à l'international et via des smartphones. Interrogé, un porte-parole du réseau social s'est refusé à tout commentaire, expliquant que l'entreprise ne réagissait pas à des "rumeurs et spéculations".