Selon Mme Damiba, le chef de l'Etat a positivement apprécié le travail général du CSC au cours de sa mandature. Elle a ajouté que le président du Faso a souhaité que le travail de consolidation du CSC puisse se poursuivre afin qu'il continue de jouer le rôle qui est le sien dans le paysage médiatique burkinabè.

«Le président du Faso a reconnu que la liberté de la presse se consolide au Burkina Faso, ce qui n'est pas forcément le cas dans beaucoup d'autres pays. Selon lui, les journalistes doivent être des pédagogues et parfaire leur travail en se formant davantage pour éviter les manquements dans leur activité»; a affirmé Mme Damiba.

Comme motif de satisfaction concernant le Rapport public 2013, Béatrice Damiba a précisé qu'il y a eu moins d'audition avec les organes de presse, «ce qui veut dire qu'il y a eu moins de fautes graves; et c'est un bon point à mettre à l'avantage des medias ». Par ailleurs, a-t-elle poursuivi, des efforts ont été fournis pour que tous les burkinabè aient accès à l'information.

En termes de recommandations, elle a exhorté l'équipe entrante à achever le travail déjà entamé à savoir la Télévision numérique terrestre (TNT), les nouveaux textes sur la presse et la publicité ainsi que les préparatifs des échéances électorales à venir.

La Direction de la Communication de la Présidence du Faso