"Si l'opposition ne participe pas, il n'y aura pas de conférence de Genève", a affirmé M. Brahimi lors d'une conférence de presse à Damas avant son départ pour Beyrouth dans le cadre d'une tournée régionale.
"La participation de l'opposition est essentielle, indispensable et importante", a ajouté l'émissaire de l'ONU pour la Syrie, soulignant que la Conférence de paix, espérée pour novembre, est prévue "pour aider les Syriens et résoudre leurs problèmes".
Selon M. Brahimi, qui a effectué une visite de cinq jours à Damas, "le gouvernement syrien a accepté de participer à (la conférence de) Genève".
Il a ajouté que "l'opposition, que ce soit la Coalition nationale ou les autres (composantes), s'efforce de trouver les moyens pour se faire représenter" à Genève-2.