M. Papathanasiou intervenait dans le cadre des sessions thématiques du 3ème Salon international des mines du Sénégal (SIM) ouverte depuis mardi dans la capitale sénégalaise. Selon lui, le Sénégal a besoin de 15 milliards de dollars pour financer ses projets d'infrastructure. Ce qui est hors de portée du budget de l'Etat.
Ce fonctionnaire de la Banque mondiale a préconisé le partage des risques de financement entre le secteur public et le secteur privé.
« La stabilité du Sénégal est un avantage car les projets d'infrastructures sont des projets à long terme », affirme M. Papathanasiou pour qui le risque politique est un facteur très important pour les investisseurs. « Cela peut amener des garanties pour la facilité des investissements », ajoute-t-il.
MS/od/APA