« Le président a terminé ses activités en Afrique du Sud samedi soir et est depuis rentré au pays », a indiqué le ministre soudanais de l'information, Ahmed Bilal Osman.
Un tribunal sud-africain avait auparavant émis une ordonnance temporaire sommant le dirigeant soudanais de rester dans le pays en attendant de réunir des arguments pour lesquels ils demandent son arrestation comme formulée par la Cour pénale internationale (CPI).
La CPI accuse Omar Al-Bashir d'avoir commis des violations des droits de l'homme et des crimes de guerre dans la région du Darfour, à l'ouest du pays, où des centaines de personnes ont été tuées par la milice Janjaweed soutenue par l'Etat et des soldats soudanais qui se battent contre les guérillas séparatistes.
Des accusations que Bashir continue de nier.
NM/daj/nbd/APA