Aucune confirmation de ses mots n'a été faite par des sources indépendantes, mais les experts militaires admettent que les forces armées de Machar pourraient contrôler au moins une partie des champs de pétrole.
Plus de 500 personnes ont été tuées depuis dimanche dernier, lorsque le président Salva Kiir a accusé Riek Machar de préparation d'un coup d'Etat. Machar nie ces accusations et déclare qu'il est prêt à négocier.