Pierre Nkurunziza est réélu pour un troisième mandat consécutif, ce qui est jugé contraire à la Constitution par ses adversaires. Il a obtenu plus de 69% des voix (69,41%).
L'annonce au printemps de la candidature du chef de l'Etat a déclenché des manifestations et des violences qui ont fait des dizaines de morts et provoqué en mai une tentative de coup d'Etat qui a été déjouée.