« J'aurais simplement aimé qu'on me dise, avant que je parte pour la CAN : « Charles, tu ne rentres plus dans les plans du coach, on va trouver une issue ». Et c'était la moindre des choses. Avoir le parcours que j'ai eu et jouer plus de 200 matches avec l'OM, il fallait le faire. Je gagnais bien ma vie à Marseille. Je n'aurais jamais pensé toucher ne serait-ce que 10 000€ dans ma vie. Pour moi, le simple fait d'arriver à Libourne était déjà incroyable ! Imaginez la suite... Côtoyer des Cissé, des Nasri, des Niang, c'était exceptionnel »