Il aurait été attaqué à la machette, à la hache, au gourdin et avec un objet contondant (bâton) par quatre individus qu'il n'a pas pu identifier. Ses blessures sont situées au niveau des membres supérieurs et du crâne. Admis à l'hôpital, son état général n'est pas jugé critique.
L'homme a eu la vie sauve grâce aux cris de sa femme et de sa fille qui ont alerté le voisinage. Ses agresseurs qui n'avaient manifestement aucune intention de le dépouiller de ses biens (moto, portable, argent) ont alors pris la clé des champs.
Une déclaration de cette agression a été faite à la Police et la Gendarmerie samedi matin 8 février 2014. La victime espère ainsi être située par les forces de sécurité sur les tenants et les aboutissants de cette attaque dont elle a été l'objet.
Alors que beaucoup de gens se perdent en conjectures, le patron du FFS, Norbert Michel Tiendrébéogo, a déclaré ne pas écarter la thèse de l'agression politique.
Vivement que la lumière soit faite sur cet événement dramatique et inacceptable !