«La présomption d'innocence peut se définir comme le principe selon lequel toute personne mise en cause dans une affaire est réputée innocente tant que sa culpabilité n'a pas été légalement établie par un procès équitable. Il est consacré par la plupart des instruments internationaux, régionaux et nationaux de droits de l'Homme» a répondu Julie Prudence NIGNA/SOMDA. Elle a poursuivi en indiquant que «la présomption d'innocence implique que l'Etat prenne toutes les dispositions pour assurer la sécurité de la personne accusée d'infraction».
En conclusion, «c'est ce qui justifie que les visages des présumés soient masqués» a précisé la ministre des Droits humains et de la Promotion civique.
Tamby de Kienfanguin (lesechosdufaso.net)