Kantigui, dans ses ballades d'écoute et surtout de recherche d'informations, est tombé sur une histoire de disparition d'un comptable de la SOFITEX de Koudougou. Et selon les informations que Kantigui a pu récolter, cela date du 21 janvier dernier. Le comptable en question, Mahamadi Traoré, selon ce que les oreilles de Kantigui ont entendu, aurait quitté le bureau depuis cette date, sans laisser de traces.
Après constat de son absence, les premiers responsables de la région cotonnière de Koudougou auraient alerté la gendarmerie qui est venue sceller dans un premier temps, son bureau, le 23 janvier. Les enquêtes menées depuis lors, pour retrouver le comptable, seraient restées vaines, à en croire les sources de Kantigui. Même son épouse n'en sait pas plus, si ce n'est qu'il a quitté la maison le 21 janvier, pour le service. Finalement, le service a décidé d'ouvrir son bureau pour avoir accès à certains documents, avec, bien sûr, la présence d'un huissier de justice.
La question que tout le monde se pose, selon les sources de Kantigui, c'est de savoir où est rentré le comptable Traoré. A-t-il fui avec une somme d'argent ? Y a-t-il un problème d'argent au service ? Pour le moment, personne ne saurait dire exactement ce qui a poussé Mahamadi Traoré à disparaître ainsi.
Toujours est-il que Kantigui, fidèle à sa réputation, n'aura de repos que quand il obtiendra la bonne information pour ses lecteurs.
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Luc Adolphe Tiao à Dori pour un bilan du 11-Décembre
Plus d'un mois après la célébration du 53e anniversaire de l'accession à l'indépendance du Burkina Faso à Dori, l'heure est au bilan chez les organisateurs. Il a été rapporté à Kantigui que le Premier ministre, Luc Adolphe Tiao, se rendra, le vendredi 7 janvier 2014, dans la capitale du Sahel, pour faire le point de l'organisation avec les comités national et régional. Au regard de ce que Kantigui a entendu çà et là, à propos des festivités, nul doute que le bilan sera positif. Nombreux sont ceux qui s'accordent à dire que la fête a été un « vrai succès » à Dori, exit les quelques écueils tels que le problème du logement. En fait de bilan, pressent Kantigui, le chef du gouvernement pourrait revenir sur les infrastructures inachevées dont le stade régional d'une capacité de 1000 places.
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Coalition contre les grossesses précoces des filles
Kantigui a été informé que l'Association Songui Manégré Aide au Développement Endogène (ASMADE) organise le 6 février 2014 à Ouagadougou, une soirée pour le renforcement de la lutte contre les grossesses précoces des filles.
Les sources de Kantigui indiquent que l'association ne sera pas déçue, car son appel a été entendu, depuis le palais de Kosyam. En effet, a-t-on confié à Kantigui, la première Dame, Chantal Compaoré et ses collaboratrices n'entendent pas se laisser conter l'évènement.
Lors de la présentation de vœux 2014 des femmes burkinabè, placée sous le thème « Halte aux grossesses non désirées des filles ! », Chantal Compaoré avait réitéré sa disponibilité à accompagner les femmes et les filles dans leur légitime quête d'un mieux-être.
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Le directeur de publication de l'Observateur Paalga honoré
Kantigui a ouï dire que le Réseau d'information et de communication pour l'hygiène, l'eau potable et l'assainissement (RICHE) tiendra sa cérémonie de distinction des personnalités Eau potable et assainissement-hygiène (WASH), le jeudi 6 février prochain, au siège du quotidien l'Observateur Paalga, situé près du grand marché de Ouagadougou. Selon la source de Kantigui, cette cérémonie va honorer le « doyen » Edouard Ouédraogo, directeur de publication de « L'Obs » et par ailleurs, parrain du RICHE. Selon la source de Kantigui, le Premier ministre, Luc Adolphe Tiao et d'autres personnalités sont attendus à cette célébration du mérite dans le secteur de l'eau, l'hygiène et l'assainissement au Burkina Faso. Kantigui se souvient que, sous l'impulsion de ce réseau de journalistes, plusieurs localités avaient bénéficié de toilettes et d'ouvrages d'assainissement, de la part de filles et fils de leurs régions.
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L'UCRB va en guerre contre le trafic des enfants
Il est revenu à Kantigui que l'Union des chauffeurs routiers du Burkina (UCRB), que préside Brahima Rabo, entend pleinement, jouer sa partition dans la lutte contre le trafic des enfants.
Elle s'est engagée à barrer la route à toute personne sans scrupules, qui s'adonnerait à ce marchandage infanticide et ignoble. Cette association qui revendique plus de douze mille (12 000) membres dans tous les secteurs du transport terrestre, a entrepris de former les responsables des comités régionaux. Du mercredi 5 au samedi 8 février, des délégués, venus de Koudougou, Kaya, Bobo-Dioulasso, Niangoloko et Ouagadougou, vont être outillés au siège de l'Union, sur les mécanismes et les outils de lutte contre la traite des enfants burkinabè vers les zones cacaoyères de la Côte D'Ivoire. Cette session est une formation des formateurs qui va être répercutée à l'ensemble du territoire national. Il a été murmuré à Kantigui que les chauffeurs routiers burkinabè se lancent dans ce noble combat, en même temps que leurs confrères ivoiriens, afin de mettre fin aux pires formes de travail des enfants. Leur initiative bénéficie de l'appui de la centrale syndicale belge Horval. Elle estime que son pays étant l'un des plus grands fabricants de chocolat doit veiller à la promotion du travail décent dans les plantations ivoiriennes. « Qui d'autre qu'un chauffeur routier peut efficacement, lutter contre le fléau du trafic des enfants ? », s'est réjoui Kantigui, devant cet engagement judicieux de l'UCRB.
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Des artistes-musiciens contre l'incivisme
Kantigui a appris l'organisation, les 14 et 15 mars 2014 à Ouagadougou, d'une formation des artistes-musiciens sur le thème « Promotion de la paix et de la culture du civisme, le rôle et la contribution de l'artiste burkinabè ». L'initiative est de l'Amicale des artistes-musiciens du Burkina (2AB), dirigée par l'artiste-musicien, Bamos Théo, également conseiller au Conseil économique et social (CES). En ces temps de grands débats démocratiques et politiques, l'Amicale entend contribuer à la consolidation de la cohésion sociale au Burkina Faso, en montrant l'importance des artistes, leaders d'opinion, dans la promotion du civisme et la préservation de la paix. Plusieurs modules relatifs au civisme, à l'engagement artistique seront, entre autres, dispensés aux participants. L'événement, a-t-on soufflé à Kantigui, sera coparrainé par le ministre de la Culture et du tourisme, Baba Hama, et la ministre des Droits humains et de la promotion civique, Prudence Julie Nigna/Somda.
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Un face-à-face direct avec le chef de l'Etat
Kantigui a appris du côté du ministère de la Promotion de la femme et du Genre que l'autre moitié du ciel est en train de mettre les petits plats dans les grands pour que la commémoration de la Journée internationale de la femme et le Forum national des femmes prévus pour se tenir en mars 2014 dans la cité du Paysan noir soient une réussite.
Première dans l'histoire des femmes burkinabè, la célébration conjointe du 8-Mars et du Forum national des femmes sera une occasion offerte aux milliers de délégués venus des treize régions du Burkina de porter la réflexion sur la question du financement des activités économiques des femmes. Les marmites bouillonnent de tous les côtés et comme plat de résistance, l'échange direct avec le premier Magistrat du Burkina Faso, Blaise Compaoré, qui permettra aux acteurs du financement de prendre des engagements en faveur de l'autonomisation économique des femmes burkinabè.
L'évènement étant de taille, le département de la Promotion de la femme et du genre appelle à une synergie d'action de tous les acteurs ; en témoigne selon les sources de Kantigui, la rencontre d'échange avec les acteurs et actrices de la chaîne de financement des activités économiques au Burkina Faso qui se tient ce jour à Splendid Hôtel. L'objectif de cette rencontre est de susciter leur implication et leur accompagnement pour une organisation efficiente de ces deux grands évènements.
Kantigui
