« Le SYNACIT n'a pas eu une satisfaction dans la mesure où ses points de revendication n'ont pas trouvé de solutions de la part des autorités », a écrit son secrétaire général Hamidou Belem.
Les préoccupations portent entre autres, sur «l'adoption d'un statut pour le corps des inspecteurs et contrôleurs du travail leur garantissant l'indépendance et la stabilité comme le recommandent les instruments de l'Organisation internationale du travail et le jugement des dossiers pendants», a-t-il rappelé.
Le Syndicat autonome des contrôleurs et inspecteurs du travail qui a engagé son combat en 2014, avaient déjà observé en avril deux grèves, ponctuées par une rencontre avec le ministre en charge du Travail, Pr Augustin Loada.
Agence d'information du Burkina
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