Les faits se seraient déroulés dans la nuit du 20 au 21 mai 2014. Selon nos sources, l'homme qui n'habite pas la même ville que son épouse, ne serait pas à son premier forfait. Il aurait en effet tenté, sans succès, de violer une première « bonne ». L'aide-ménagère qu'il aurait violée dans la nuit du 20 au 21 mai, serait également une femme mariée, dont l'époux enseignant a perdu son travail. Elle se serait présentée le mercredi 21 mai aux gendarmes pour porter plainte, mais ceux-ci auraient refusé de recevoir la plainte, au motif que le mis en cause serait un « haut commis » de l'Etat. On lui aurait suggéré cependant de se rendre à la justice, ce qu'elle aurait fait. Malheureusement, le procureur étant absent de son bureau, rendez-vous lui fut donné ce vendredi 23 mai 2014. Qu'en sera-t-il ? Affaire à suivre.