Chronique dans le Boulkièmdé : Des pratiques intolérables en circulation

| 12.06.2014
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Chronique dans le Boulkièmdé : Des pratiques intolérables en circulation
© DR / Autre Presse
Chronique dans le Boulkièmdé : Des pratiques intolérables en circulation
Dans la ville de Koudougou, il n'est pas rare de voir des citoyens indélicats qui se donnent à ce genre de pratiques dans la circulation (voir photo).
Attacher des barres de fer, de portails ou de chevrons derrière une moto ou un vélo de façon perpendiculaire ne semble pas être un souci pour certains dans la circulation. Mais ce qu'ils oublient est que cette pratique peut être cause d'accident grave ou mortel. Ce qui nous amène à dire que ces personnes se foutent de la vie des autres car en transportant un tel bagage qui occupe tant d'espace et connaissant la largeur de nos routes, c'est évident qu'on peut être à l'origine d'un drame qu'on pourrait peut-être éviter. Si et seulement si, on avait pensé à la vie des autres en confiant son matériel à un charretier contre quelques jetons. De telles pratiques doivent cesser dans nos villes et les autorités communales doivent prendre les mesures qui s'imposent.

Divagation des animaux: Monsieur le maire, prenez vos responsabilités

On constate de plus en plus des accidents liés à des animaux en divagation et qui endeuillent des familles. En effet, ce mardi 10 juin sur la route nationale 14, juste après le barrage en partance pour Dédougou un usager a été victime d'un accident. Ce nième accident causé par un porc en divagation doit interpeller chacun à plus de responsabilité. Là aussi, c'est à l'autorité communale d'user de tous ses pouvoirs pour interdire la divagation des animaux dans la ville. Car il est écrit à l'article 19 du Code de l'hygiène publique que «Dans les agglomérations, il est interdit de laisser les animaux divaguer sur les voies et places publiques. Les animaux destinés à l'abattage doivent être conduits dans un couloir prédéfinit, en respectant les horaires de passage fixés par l'autorité administrative compétente.» Comme on le constate, au Burkina il existe beaucoup de textes réglementaires mais leurs applicabilités reste cependant difficile. A bon attendu salut!

Université de Koudougou: le bâtiment administratif dans le noir

Le bâtiment administratif de l'université de Koudougou est dans le noir. C'est du moins ce que nous avons pu constater ce mardi 10 juin. Selon des témoignages, les étudiants et personnels de l'administration seraient privés d'électricité depuis plus deux semaines. En témoigne cet écriteau que nous avons trouvé affiché à l'une des portes (le bureau où les étudiants viennent retirer les attestations): «Pour les retraits d'attestations définitives, revenez la semaine prochaine. Merci de comprendre». Si fait qu'à partir de 18 heures, les étudiants sont obligés de rentrer chez eux dans les salles de cours aucune ampoule ne s'allume. En tout cas, ce manque d'électricité a paralysé toutes les activités au niveau de ce bloc administratif et personne ne sait quand est-ce ils auront l'électricité. Pour l'heure, nous ignorons les raisons de cette coupure d'électricité à l'université de Koudougou (panne ou arriéré de factures) car nous n'avons pas eu de contact avec les premiers responsables de l'université. Vivement qu'on trouve une solution le plus vite possible!

Zanga Souleymane DAO

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