A en croire le président de la section Ouaga de l'Aneb, lors d'une rencontre de prise de contact avec le ministre Filiga Michel Sawadogo, celui-ci aurait affirmé qu' « aucune enveloppe n'est prévue pour répondre favorablement aux revendications posées par les étudiants ».
Et pour Yves Ramdé : « Les autorités font dans la provocation ». L'Aneb dit condamner « cette attitude irresponsable » et a observé « une grève d'avertissement » de 48h du 25 au 26 février. Elle envisage de nouvelles actions les jours à venir, dit-elle, « pour exiger un traitement sérieux et diligent » de sa plateforme revendicative.
Par ailleurs, elle pointe la responsabilité des autorités pour toute dégradation du climat social sur les campus de Ouagadougou.
A.S.