Outre la marche sur le ministère, les étudiants vont observer un arrêt des cours de 24 heures suivi d'un grand meeting.
'Les universités publiques du Burkina sont plongées dans une situation chaotique et indescriptible et les étudiants vivent dans des conditions dramatiques et insupportables du fait de l'application de politiques hasardeuses et criminelles', estime l'ANEB.
Les étudiants exigent dans leur plate-forme revendicative des conditions favorables pour l'application du système LMD (Licence-Master-Doctorat).
'Sur commande du système LMD, on assiste, entre autres, à un chevauchement des années académiques avec, pour conséquence, l'allongement de la durée de formation des étudiants et les blanchissements techniques à répétition', dénoncent-ils.