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Crash d’Air Algérie : Commémoration vendredi à Ouagadougou du 1er anniversaire

| 24.07.2015
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Ouagadougou 13 janvier 2015 - Les restes des dépouilles de 18 des victimes burkinabè du crash d'Air Algérie qui avait fait 116 morts en juillet dernier au Mali, sont arrivés ce mardi soir à Ouagadougou en provenance de la France, où ils ont été identifiés, a-t-on constaté. Photo d'archives, utilisée à titre d'illustration
© © Photo : DR / aOuaga.com
Ouagadougou 13 janvier 2015 - Les restes des dépouilles de 18 des victimes burkinabè du crash d'Air Algérie qui avait fait 116 morts en juillet dernier au Mali, sont arrivés ce mardi soir à Ouagadougou en provenance de la France, où ils ont été identifiés, a-t-on constaté. Photo d'archives, utilisée à titre d'illustration
Ouagadougou - Les parents des victimes du crash du vol AH 5017 d'Air Algérie, dans lequel, toutes les 116 personnes à son bord ont péri le 24 juillet 2014, commémorent le 1er anniversaire de ce drame vendredi, à Ouagadougou, a-t-on appris.


Selon le programme de la cérémonie publié par le Service d'information du gouvernement burkinabè, les délégations étrangères et nationales sont attendues dans la journée de ce jeudi à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso.

Dans la soirée, une veillée funèbre, ponctuée par des interventions des autorités politiques, religieuses et coutumières, sera organisée en la mémoire des disparus.

Dans la journée du vendredi 24 juillet, un hommage sera rendu aux disparus, suivi du lancement des travaux de construction d'une stèle.

Le vol AH5017 Ouagadougou-Alger s'était écrasé, le 24 juillet 2014, dans le nord du Mali, une demi-heure après son décollage de l'aéroport international de Ouagadougou.

Le McDonnell 83, affrété par Air Algérie auprès de la compagnie espagnole de leasing Swiftair, transportait 116 passagers, dont 54 Français, 23 Burkinabè, huit Libanais, six Algériens, des ressortissants d'autres pays et les six membres de l'équipage espagnol, qui ont tous péri.

Quelques jours après le crash, les boîtes noires de l'appareil ont été retrouvées et envoyées à Paris où elles ont été soumises à des l'analyses.

Selon les juges d'instruction en charge du dossier, la cause principale de l'accident est "la non-activation du système d'antigivre des sondes moteur, alors que la température extérieure et la zone humide traversée requéraient sa mise en place".

Agence d'information du Burkina
ndt/

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