« Le contexte de conjoncture économique mondiale difficile, nous impose d'examiner toutes les options stratégiques de mobilisation des ressources et des investissements étrangers en faveur de notre pays » assène le chef du gouvernement, Béyon Luc Adolphe TIAO à l'ouverture de la conférence des consuls honoraires.
En plus donc de la protection et d'appui à la diaspora burkinabè, les consuls honoraires ont pour champs d'action, la négociation des investissements étrangers.
« Je vous encourage à œuvrer à la multiplication des relations entre collectivités locales, les jumelages et les parrainages » a exhorté les consuls honoraires, le premier ministre TIAO. Toutes ces recommandations sont sans doute bien admises par l'assemblée.
« Le travail de consul honoraire est un travail à géométrie variable », par conséquent, « je vous exhorte à poser toute question de nature à nous mettre en phase avec notre mission » a souligné Michel PLANES, consul honoraire du Burkina à Paris, doyen des pairs.
Dramane GUENE