Burkina: Une centaine de jeunes africains se planchent sur le renforcement de la démocratie

| 13.08.2015
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Depuis le 17 décembre 1999, la Communauté Internationale commémore le 12 août de chaque année, la Journée internationale de la jeunesse (JIJ). Au Burkina Faso, le top départ de la célébration de la JIJ 2015 a été donné ce 12 août par le Président de la Transition, Président du Faso, SEM Michel KAFANDO, devant des jeunes venus de 21 pays africains. Photo d'archives, utilisée à titre d'illustration
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Depuis le 17 décembre 1999, la Communauté Internationale commémore le 12 août de chaque année, la Journée internationale de la jeunesse (JIJ). Au Burkina Faso, le top départ de la célébration de la JIJ 2015 a été donné ce 12 août par le Président de la Transition, Président du Faso, SEM Michel KAFANDO, devant des jeunes venus de 21 pays africains. Photo d'archives, utilisée à titre d'illustration
Ouagadougou - 111 jeunes de 21 pays africains tiennent du 12 au 14 août à Ouagadougou, un colloque panafricain sur le renforcement de la démocratie et de la cohésion sociale à l’occasion de la commémoration de la journée internationale de jeunesse célébrée chaque 12 août, a-t-on constaté.


Placé sous le thème «participation citoyenne des jeunes au renforcement de la démocratie et de la cohésion sociale pour un développement durable», le colloque panafricain selon les organisateurs vise entre autres, «la participation et actions de veille des jeunes pour la défense de la démocratie, l’engagement des jeunes en faveur de la cohésion sociale et l’implication de la jeunesse dans les instances nationales de décision».

Pour le porte-parole de la jeunesse africaine, le Burkinabè Cheick Faycal Traoré, cette rencontre est l’occasion «de présenter notre vision dans l’agenda post 2015 au chef de l’Etat burkinabè (Michel Kafando ndlr) et lui demander d’être l’ambassadeur de la jeunesse africaine au sommet des Nations Unies qui aura lieu en septembre 2015».

«J’ai compris ce message et j’accepte d’être votre intermédiaire pas seulement pour transmettre mais défendre vos doléances (...)» a promis, Michel Kafando président de la Transition du Burkina Faso.

Le ministre burkinabè en charge de la Jeunesse Salifou Dembélé, pour qui la jeunesse compte plus de 60% des populations africaines, souhaite que les gouvernements des Etats africains mettent en place «un budget conséquent pour la jeunesse de tout le continent».

M. Dembélé a prévenu que «si cette jeunesse est abandonnée (...), elle ira gonfler les rangs de ces terroristes porteurs de bombes, qui vont semer la désolation dans nos familles».

Agence d’Information du Burkina
kle/dg/taa

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