Pour le Secrétaire général de l’Unité d’actions syndicales (UAS), Bassolma Bazié, la lettre envoyée aux syndicats n’indiquait pas cela. Ce vendredi 25 novembre 2016, lors d’une autre rencontre entre le gouvernement et les syndicats, l’Unité d’actions syndicales a laissé entendre qu’elle n’a pas à l’avance été informée de l’ordre du jour, donc il sera difficile pour lui de discuter de ce dont il n’a pas été préparé.
Les deux parties ont donc décidé de faire une prise de contact et convoquer plus tard une autre rencontre. Le ministre en charge de la fonction publique, Clément P. Sawadogo, pense qu’en situation d’urgence, on n’est pas obligé d’aviser de l’ordre du jour. Y a-t-il déficit de communication ou incompréhension entre les deux parties ? De toute évidence, il va falloir revoir la manière de faire...
Emilienne Kaboré