Il a expliqué que le chef de l’Etat lui a donné des conseils allant dans le sens d’être le plus possible à l’écoute des pays qu’il représente et d’entretenir « une relation dynamique » avec l’ensemble de ces pays de sorte « qu’aucun ne se sente en marge du fonctionnement du groupe ».
Répondant à une question relative à la relance économique au Burkina Faso, l’Administrateur de la Banque mondiale a laissé entendre que la relance de l’économie nationale n’est pas une question d’argent. « Aussi paradoxale que cela puisse paraître, ce n’est pas une question d’argent ; c’est plutôt une question d’engagement de tous les acteurs de l’économie nationale parce que l’économie c’est d’abord une science de la confiance », a-t-il développé.
Selon Monsieur BOUDA, « quand les acteurs économiques ont confiance au modèle économique en marche et à l’environnement socioéconomique, ils s’y engagent sans réserve et la croissance, la prospérité est au bout du chemin ».
Monsieur Seydou BOUDA, fonctionnaire international burkinabè est depuis novembre 2016, Administrateur à la Banque mondiale. A ce titre, il représente le « Groupe Afrique II », qui comprend 23 pays de l’Afrique de l’Ouest, de l’Afrique Centrale, de l’Océan indien et de la Corne de l’Afrique.
La Direction de la Communication de la Présidence du Faso