UNIR/PS : « Il y a aucune démission dans le rang de la FEDES »

| 21.08.2015
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UNIR/PS : « Il y a aucune démission dans le rang de la FEDES »
© DR / Autre Presse
UNIR/PS : « Il y a aucune démission dans le rang de la FEDES »
La Fédération des étudiants et scolaires sankaristes (FEDES) a organisé une conférence de presse le jeudi 20 août 2015. Objectif, démentir la rumeur de démission de ses membres.


« Nous, jeunes Sankaristes, vous rassurons qu’il n’y a aucune démission dans les rangs de la Fédération des étudiants et scolaires sankaristes, encore moins dans les autres structures sur le territoire national », ainsi est formulé le démenti du président de la Fédération des étudiants et scolaires sankaristes (FEDES). Le président de la FEDES, Issaka Ouédraogo, a ajouté que parmi les 102 personnes dont il est question, la fédération n’en reconnaît que 3 dont Marc Bonogo, José Fernand Sari et Oumarou Bélem. Marc Bonogo, selon le président de la fédération, Issaka Ouédraogo, est l’ex-président de la FEDES qui a été contraint à la démission par ses camarades pour indiscipline.

Il est aussi le président de l’Alliance des nouvelles consciences (ANC) dont la mission latente est de recruter des militants pour Eddie Komboïgo du CDP, a-t-il relevé. A en croire le président de la fédération, M Bonogo se réclame chef de file des prétendus démissionnaires de l’UNIR/PS dans le but de ternir l’image de son parti en contrepartie de la somme de 50 000 000 F CFA de la part de Eddie Komboïgo. Après ces propos, le président a souligné que tout le monde ne peut pas militer à l’UNIR/PS car cela relève d’un mérite qui est la caution morale, la dignité, l’honnêteté et l’intégrité. Il a relevé que les 102 personnes sont celles qui auraient soumis des projets pour bénéficier de financement à hauteur de 50 000 000 F CFA de la part de M. Komboïgo.

La jeunesse sankariste a mis en garde les hommes politiques à propos de l’instauration de la paix nationale, de la sécurité et la stabilité du pays qui leur incombent. En effet, poursuit-elle, les élections d’octobre prochain sont historiques et la compétition électorale doit inéluctablement se baser sur des programmes de société. La FEDES a interpellé les responsables des partis politiques sans exception, à une prise de responsabilités pour l’intérêt supérieur de la nation.

Akodia Ezékiel Ada (stagiaire)

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