Ces partis sont : le Front patriotique pour le changement (FPC-Yélémani) ; l’Alliance pour la démocratie au Faso (ADEFA) ; l’Union des démocrates indépendants (UDI) ; l’Union nationale pour la démocratie et le progrès (UNDP) ; le Parti pour le renouveau national (PARENA) ; le parti pour le progrès et le renouveau national (PPRN) et le Parti des patriotes progressistes (PPP).
S’ils ont décidé de soutenir la candidature de Ablassé Ouédraogo à la présidentielle, c’est parce que, expliquent-ils, ils ont été séduits par son programme de société et son comportement lors de la tentative de putsch du 16 septembre dernier.
Tahirou Zon, leur porte-parole, expliquait au cours de la cérémonie qu’ils ont analysé « rigoureusement et méticuleusement » les programmes de gouvernement des autres candidats et « observé les comportements et attitudes des différents candidats devant les évènements critiques majeurs vécus récemment par le Burkina Faso ».
Urgent de conclure la Transition
Leur verdict : « Dr Ablassé Ouédraogo, à travers ses prises de parole et de position emprunts de vérités et de droiture, montre son désir et sa volonté de rassemblement de toutes les filles et fils du Burkina Faso autours de l’idéal commun : le mieux vivre ensemble le vivre heureux ensemble ».
C’est pourquoi ces partis le soutiennent, « convaincus que Dr Ablassé Ouédraogo est le seul candidat à même de réconcilier les Burkinabè entre eux et de remettre la Nation entière au travail dans un climat de paix partagée et de discipline ».
Le candidat Ouédraogo, dont la candidature est aussi portée par son propre parti Le Faso Autrement, accepte avec «joie, satisfaction et humilité » ce soutien et estime qu’avec ce renfort, sa route « pour aller à la conquête du palais de Kossyam s’éclaircit davantage ».
Il a aussi rappelé qu’il est « urgent de conclure la Transition et d’installer le Burkina Faso dans la légalité et légitimité démocratique en donnant la responsabilité au peuple de choisir ses dirigeants ».
DTS