Les grands partis comme l'Union pour le Progrès et le Changement (UPC) de Zéphirin Diabré et le Mouvement du Peuple pour le Progrès (MPP) de Roch Marc Christian Kaboré prônent une répartition de l'enveloppe selon le poids politique alors que les « petites formations » réclament le principe de la même part pour tous. La subvention était habituellement indexée sur le nombre de député de chaque formation politique à l'Assemblée nationale. Ce critère n'est toutefois pas applicable sous la transition actuelle, le parlement ayant été balayé par l'insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014.
Avec MondAfrique.com