Ancien directeur de cabinet de la présidente de la Commission de l'Union africaine (UA), M. Natama a expliqué sa décision en affirmant que "la politique, c'est un sacerdoce, un don de soi, des idées".
"Quand on se veut porteur d'un projet de renaissance, de rupture, c'est, entre autres, par-là que ça commence", a-t-elle expliqué.
Le gouvernement burkinabè a débloqué un milliard 300 millions de francs CFA (environ 2,1 millions USD) pour le financement des campagnes électorales et des activités hors campagne.
Selon les services de communication de M. Natama, une correspondance sera adressée aux autorités pour demander de dédier la part du candidat à la construction d'une infrastructure éducative ou sanitaire.