Il a indiqué que les échanges avec son hôte ont porté sur les mécanismes constitutionnels qui constituent la trame du fonctionnement de l'Etat, les avantages du bicamérisme, ...le travail législatif et les perspectives à long terme de l'avenir de l'Afrique. Interrogé sur les relations parlementaires entre la France et le Burkina, Jeanny Lorgeaux a indiqué que traditionnellement, il y a entre l'Assemblée nationale du Burkina et celle de la France, des groupes d'amitié qui fonctionnent bien.
Auteur d'un ouvrage portant les relations entre la France le continent africain, quelle vision le sénateur qu'il est a de ces relations dans le futur. En réponse à cette question, il a souligné que le monde change. « Il y a cinquante ans, l'on pouvait dire que la France était l'avenir de l'Afrique. Mais aujourd'hui, c'est le contraire. Les rapports de force internationaux se modifient. Aujourd'hui, l'Afrique dans son entité est un continent majeur plein de promesses.... », a relevé le sénateur-maire.