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Le prochain mouvement des magistrats à l’ordre du jour de la 3ème session 2015 du conseil supérieur de la magistrature

| 24.07.2015
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Le prochain mouvement des magistrats à l’ordre du jour de la 3ème session 2015 du conseil supérieur de la magistrature
© © Photo : Présidence
Le prochain mouvement des magistrats à l’ordre du jour de la 3ème session 2015 du conseil supérieur de la magistrature
La 3ème session 2015 du conseil supérieur de la magistrature(CSM) s'est tenue dans la matinée du 23 juillet 2015, à la présidence du Faso, sous la présidence de Madame Joséphine OUEDRAOGO, ministre de la justice, des droits humains et de la promotion civique, première vice-présidente du CSM, représentant le Président du Faso, Président du CSM.


Le principal défi de cette session selon Joséphine OUEDRAOGO, consiste « à se fonder sur les besoins de renforcement des capacités des juridictions et de la chancellerie, pour faire une répartition équitable des compétences disponibles tout en prenant en compte les exigences et certaines contraintes à titre exceptionnel ». La présente session du CSM va par ailleurs étudier les dossiers de trente (30) nouveaux magistrats à intégrer et à nommer.

La présidente de la session à inviter les membres du CSM à œuvrer afin de « trouver des modalités de gestion des ressources humaines qui soient en phase avec une stratégie d'appréciation objective des défis et des besoins qui s'imposent aux juridictions selon leur contexte d'implantation ». Autant de paramètres a dit Madame le ministre de la justice, des droits humains et de la promotion civique qui « visent à réhabiliter la confiance entre la justice et les justiciables, à promouvoir les compétences des jeunes magistrats et auxiliaires de justice, et à utiliser judicieusement l'expérience des doyens ».
Les conclusions de cette 3ème session du conseil supérieur de la magistrature contribueront selon Joséphine OUEDRAOGO « à améliorer le fonctionnement des juridictions en leur apportant des esprits neufs en ces moments où le peuple a le regard tourné vers les institutions judicaires et attend qu'elles prennent des actions à la mesure des exigences d'intégrité, de justice et de probité exprimées lors de états généraux ».

Direction de la communication de la Présidence du Faso

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