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Le débat est si passionné chez vous que je m'impose de ne plus intervenir. Encore moins risquer un avis.

| 19.01.2014
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Le débat est si passionné chez vous que je m'impose de ne plus intervenir. Encore moins risquer un avis.
© DR / Autre Presse
Le débat est si passionné chez vous que je m'impose de ne plus intervenir. Encore moins risquer un avis.
Je demeure convaincu que vous trouverez la solution. Surtout que l'on m'a bien fait comprendre que j'étais un ETRANGER au BURKINA, bien qu'étant citoyen de la CEDEAO.

Je n'ai jamais été MEDIATEUR. Mais l'émissaire du Président Alassane Ouattara. Je n'ai point eu de parti pris. J'ai déclaré mon amitié au Président Blaise Compaoré et à Roch Marc Kaboré. Aussi, je ne suis pas homme a renié ses amis comme « Simon Pierre », pour cela j'ai été injurié par vous.

Ne venez donc pas requérir à nouveau mon avis. Je me contenterai de suivre à la télé les évènements dans ce pays que nous aimons tous. Désormais je m'interdis tout commentaire sur la situation de votre pays. Le panafricanisme que nous prônons laissait croire que nos échanges avec nos frères Burkinabè seraient des plus intéressants.

Il y'a encore beaucoup à faire en Côte d'Ivoire! Il n'y a pas le temps à l'oisiveté. Et j'ai décidé de m'abreuver au Léthé car dans l'oubli je trouve la félicité.

GKS.

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