Rentrée scolaire 2016-2017: le ministre Jean Martin Coulibaly donne des orientations aux directeurs régionaux

| 14.09.2016
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Jean Martin Coulibaly - Ministre de l’Education nationale et de l’alphabétisation
© DR / Autre Presse
Jean Martin Coulibaly - Ministre de l’Education nationale et de l’alphabétisation
Le ministre de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation (Mena) a rencontré le mardi 13 septembre 2016 à Ouagadougou, les directeurs des 13 régions du Burkina pour leur donner des orientations sur la prochaine rentrée scolaire. Objectif, éviter un quelconque retard sur ladite rentrée des classes.

A l’orée de la rentrée scolaire 2016-2017 qui va bientôt débuter, le ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, Jean Martin Coulibaly, a rencontré les directeurs régionaux le 13 septembre 2016. Cette rencontre vise selon le ministre Coulibaly, à échanger avec les premiers responsables de ces structures déconcentrées que sont les directions régionales, afin de leur donner des orientations sur la méthode à adopter pour qu’il n’y ait aucun retard au cours de l’année qui va démarrer. Et s’il devait y avoir un retard, il ne faudrait pas, a souligné M. Coulibaly que cela soit du ressort du Mena, car dit-il, dans ces relations, il arrive que certains acteurs n’aient pas remplis leur rôle. «Nous sommes en partenariat avec d’autres acteurs notamment sur la question des scolarités des établissements privés d’enseignement post primaire et secondaire, sur la question des vacations qui ne sont pas nécessairement des acteurs de l’éducation», a noté Jean Martin Coulibaly.

A son avis, l’année scolaire 2015-2016 a été particulière liée au contexte global que le pays a connu, ce qui a modifié le calendrier scolaire. Même si dès sa prise de fonction il s’est attelé à régler la plupart des contraintes, le ministre de l’Education nationale a estimé qu’il est bon que dès à présent des dispositions soient prises pour que chaque responsable sache ce qu’il attend de lui, à quel délai, ce qui doit être toléré et ce qui ne doit pas l’être pour la rentrée à venir; car dit-il, la qualité de l’école incombe à tout le pays.

Le ministre a également dit que pour l’heure, l’urgence à régler reste la mise à jour des frais de scolarité des élèves que l’Etat a confiés aux établissements privés. «Cette année, nous sommes en retard par rapport à ce que nous devons à ces établissements. Les causes qui ont occasionné ces retards seront examinées pour que l’année prochaine nous ne soyons pas dans la même situation», a promis Jean Martin Coulibaly.

Madina Belemviré

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