Plateforme revendicative du SYNATIC : le ministère en charge de la Fonction publique et celui de l’Economie se joignent aux négociations

| 28.09.2016
Réagir
Plateforme revendicative du SYNATIC : le ministère en charge de la Fonction publique et celui de l’Economie se joignent aux négociations
© DR / Autre Presse
Plateforme revendicative du SYNATIC : le ministère en charge de la Fonction publique et celui de l’Economie se joignent aux négociations
Les négociations sur la plateforme revendicative du Syndicat national des travailleurs de l’information et de la culture (SYNATIC) ont repris ce mardi 27 septembre 2016.


Prennent part aux négociations, les ministères en charge de la Communication, de l’Economie et des Finances, et celui de la Fonction publique.

Dès sa prise de parole, le ministre en charge de la Communication, Rémis Fulgance Dandjinou a salué l’esprit de dialogue et de concertation du SYNATIC qui a toujours prévalu dans les négociations. Il a également souligné l’engagement du gouvernement à trouver des solutions idoines aux préoccupations des travailleurs de l’information.

Pour lui, cette rencontre vise à parvenir à un consensus qui ne puisse pas remettre en cause l’engagement pris par la Fonction publique dans le respect du cadre normatif de traitement des salaires et des indemnités.

Pour ce faire, le ministre Dandjinou a souhaité que les négociations se fondent plutôt sur des revendications exclusives au monde de la Communication afin de ne pas susciter des implications qui aillent au-delà de ce cadre de concertations.

A son tour, le ministre en charge de l’Education nationale, Jean Martin Coulibaly, représentant celui de la Fonction publique, a insisté sur l’importance du dialogue, gage, selon lui, de solutions probantes.

Pour l’instant, le secrétaire général du SYNATIC dit attendre des réponses « claires et nettes » de ces négociations. Il rassure l’ensemble de ses « camarades » que le SYNATIC « mettra tout en œuvre pour obtenir satisfaction ».

Du reste, le SYNATIC a prévu d’aller en grève du 3 au 5 octobre prochain. Et si le ministre en charge de la Communication trouve que la grève reste un moyen de lutte, il invite toutefois le syndicat à ne pas remettre en cause la qualité du dialogue qui existe déjà et à préserver le matériel de travail. Et ce, quel que soit l’issue des présentes négociations.

DCPM/MCRP

Publicité Publicité

Commentaires

Publicité Publicité