Coopération : Le parlement français soutient les efforts de développement au Burkina Faso

| 29.11.2016
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Coopération : Le parlement français soutient les efforts de développement au Burkina Faso
© DR / Autre Presse
Coopération : Le parlement français soutient les efforts de développement au Burkina Faso
Le Premier Ministre, Paul Kaba THIEBA, a reçu en audience le vendredi 25 novembre 2016, la Présidente de la Commission de la défense nationale et des forces armées de l’Assemblée nationale française, Patricia ADAM. Les échanges ont tourné autour de plusieurs sujets, notamment le développement, l’économie, la formation professionnelle des jeunes.


Le développement du Burkina Faso préoccupe bon nombre de ses partenaires. Ceux-ci le témoignent aux autorités burkinabè et entreprennent des actions pour relever les défis liés à son développement. C’est dan cette dynamique que l’on peut situer l’entretien entre le premier ministre Paul Kaba THIEBA et la Présidente de la Commission de la défense nationale et des forces armées de l’Assemblée nationale française, Patricia ADAM, le vendredi 25 novembre 2016. Les échanges entre les deux personnalités ont porté sur différents sujets en relation avec le développement du « Pays des hommes intègres ».

« Nous avons parlé développement, économie, formation des jeunes. Des contacts ont été pris entre autres sur ces points pour faire aboutir les projets que souhaite développer le Premier Ministre en matière de formation des jeunes et d’excellence technologique dans votre pays », a expliqué la parlementaire française.

Le terrorisme gagne du terrain et le Burkina Faso et bien d’autres pays sont confrontés à cette menace. Les actes terroristes constituent, selon l’hôte du Premier Ministre, un handicap pour le développement des pays. Patricia ADAM pense donc qu’il faut fédérer les efforts pour venir à bout de ce phénomène. « En matière de sécurité, il y a déjà beaucoup de choses qui sont déjà faites, en particulier au niveau du G5 Sahel qui réunit l’ensemble des pays de la zone du Sahel avec la force française Barkhane. Vous avez subi des actes terroristes également au Burkina Faso. Nous avons vécu les mêmes types d’actes de terrorisme. L’ennemi était le même que ce soit ici, en France, en Belgique. Nous avons un ennemi commun, donc il faut que l’on soit ensemble pour lutter contre cet ennemi commun pour que nos populations vivent dans la sécurité. Parce que sans sécurité il n’y a pas de développement ». Le premier Ministre a fait part de ses ambitions pour la formation des jeunes et Patricia ADAM a rassuré le chef du gouvernement de la disponibilité du parlement français à accompagner les autorités burkinabè dans ce domaine.

DCI/PM

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