Imprimer cette page

Echéances électorales à venir : le Japon offre 487 millions à la CENI

| 15.05.2015
Réagir
L'Ambassadeur de la République de Chine Taiwan au Burkina Faso a remis un chèque de 1 million d'euros pour l'organisation des élections en octobre. La cérémonie de remise a eu lieu à Ouagadougou, le 24 mars 20145. Photo d'archives, utilisée à titre d'illustration
© © Photo : DR
L'Ambassadeur de la République de Chine Taiwan au Burkina Faso a remis un chèque de 1 million d'euros pour l'organisation des élections en octobre. La cérémonie de remise a eu lieu à Ouagadougou, le 24 mars 20145. Photo d'archives, utilisée à titre d'illustration
En visite à la Commission électorale nationale indépendante (CENI), l'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Japon au Burkina Faso, Masato Futaishi a annoncé la contribution d'une somme de 487 millions FCFA de son pays à la CENI au processus électoral. C'était le mercredi 13 mai dernier en présence du président de la CENI, Barthélemy Kéré.


Le gouvernement du Japon, à travers son ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire, Masato Futaishi en visite à la CENI a offert la somme de 487 millions à l'institution. L'objectif est de réaliser le projet de renforcement de capacité logistique de la CENI.

Ce projet permettra l'acquisition de 21 véhicules et 8 motocyclettes. Ces véhicules seront utilisés pour assurer en toute sécurité le transport des matériels et documents électoraux, le transfert des résultats des scrutins.

Et aussi, la supervision des élections. " Le Japon est très heureux d'accompagner la CENI et souhaite que ces élections soient transparentes, justes et équitables afin que la bonne gouvernance, la démocratie, la stabilité et le développement durable se renforcent ", a relevé l'ambassadeur du Japon au Burkina Faso.

Pour joindre l'utile à l'agréable, un accord a été signé entre l'ambassade du Japon et la CENI. Selon le président de la CENI, Barthélemy Kéré, ces différentes interventions vont permettre à la CENI de gérer l'essentiel du processus notamment les questions de la logistique, la gestion de la transmission des résultats. C'est ce qu'il faut à la CENI de manière essentielle.

Le gouvernement de la transition, selon le président de la CENI, s'est engagé pour que les élections puissent avoir lieu à bonne date.

Jules TIENDREBEOGO

Publicité Publicité

Commentaires

Publicité Publicité