Sans doute, la conjoncture nationale dicte-t-elle cet agenda. En effet, bien qu'il y ait eu des médiations avortées ou en cours, ils étaient nombreux à penser que seul le dialogue (direct) Blaise-classe-politique, toutes tendances confondues, pourrait produire la solution escomptée à cette grippe politique qui fatigue le Burkina depuis des mois.
Quelles propositions seront mises sur la table ? Est-ce exclusivement sur les questions du référendum ou de l'article 37 ?
L'éventualité de la formation d'un gouvernement d'union nationale, où l'opposition fera son entrée sera-t-elle au menu de ces échanges ?
Réponse, demain mardi.