Lequel CND a connu une fin « worr bli » « inexplicable » en langue NUNI avec l’arrestation du Gle Golf avec ses probables complices parmi lesquels le Gle de la gendarmerie Djibrill Yiépènè Bassolé.
Le Gle Djibrill Bassolé qui fut ministre de la sécurité ensuite des affaires étrangères sous l’ère Blaise et qui fut exclu de la compétition pour le poste de président du Faso.
Pour son arrestation, le gouvernement avait déclaré avoir en sa possession des preuves tangibles justifiant de son implication dans le coup d’état et aussi qu’il aurait fait appel à des forces étrangères pour apporter leur soutien au dit coup.
Avec patience, le peuple Burkinabè attendait les différentes preuves pour réellement se situer sur la personnalité qu’incarnent les organisateurs et complices de cet acte à la limite honteux même s’il a été le seul coup d’Etat militaire qui réclamait la démocratie si je ne me trompe pas (rires). Ainsi, les hypothèses de preuves se sont succédé de détention d’armes de guerres à je ne sais quoi. Et qui à ma connaissance ont tous été écartées car sans fondement réel. C’est alors qu’apparu une affaire d’enregistrement d’un appel que Djibrill Bassolé aurait eu avec le président de l’assemblée nationale ivoirienne Guillaume Soro qui a eu un bâtiment perquisitionné en son nom.
Bon nombre d’individus qui suivaient le dossier cherchaient à bien sur l’avoir et l’écouter si cela était possible puisse qu’on ne le pensait pas à la portée de qui veut. Malheureusement, grande fut notre surprise qu’un jeudi 12 novembre nous trouvâmes sur la toile très tôt le matin un fichier audio supposé être la conversation tant attendu. Lequel élément qui fut l’œuvre d’un journaliste Français d’origine Camerounaise, Theophile Kamouaou proche des pro-Gbagbo en Côte d’ivoire .Pour ceux qui ont voulu le déguster avec fougue ont certainement eu leur appétit sous la plante du pied (déception totale). La déception pour moi tire sa source dans le caractère non sérieux du document. En effet l’on pouvait constater des changements de voix à plusieurs niveaux, des voix qui devaient de manière progressive les sieurs cités dans l’affaire pire, on pouvait facilement remarquer que les signaux étaient captés par le même récepteur et donc rimait plus avec un montage. Et depuis cette période, nous ne faisons que rencontrer sur la toile toute sorte d’éléments sonores que l’on attribue à qui il veut. Tantôt c’est l’original, tantôt la vraie version et je ne sais quoi.
Cette situation aujourd’hui, à mon avis donne en un, une connotation ridicule à ce dossier pendant à rendre impossible un procès sur ce dossier si toute fois les écoutes étaient capitales dans les preuves. Ensuite, cela se présente comme des injures face aux différentes parties en l’occurrence le Gle Djibril Bassolé et le gouvernement Burkinabè.
De l’injure vis-à-vis du Gle Djibril Bassolé.
Ici, s’il vous plait il est bien question du premier Gle des pandores Burkinabè, ex ministre de la sécurité et qui maitrise les rouages du pouvoir d’Etat. Tenir certains de ces propos ? Ah ça donne à s’interroger. Sans oublier le niveau de langue utilisé dans certains de ces éléments par son vis-à-vis. On se demande également comment un homme de sa trempe pourrait être aussi négligeant pour aborder des questions aussi délicates de cette façon aussi banale ? La seule réponse valable, qu’il y a une campagne d’acharnement sur les intéressés et particulier Djibril Bassolé. Nous voyons cela comme une injure à son image que ça puisse s’arrêter pour l’honneur du pays.
De l’injure vis à vis du gouvernement Burkinabè.
Nous savons, que pour la protection des vies privées, les contenus des conversations téléphoniques sont secrets. Pourquoi retrouver ces contenus à l’air libre ?
Nous savons que les écoutes dans cette affaire occupent une place de choix, pourquoi et comment les retrouvons t’ont à la portée de tous ?
Nous savons que les services d’écoutes sont tenus de garder discret tout enregistrement si ce n’est à la demande d’une autorité ayant le droit dans le cadre d’une enquête.
Alors, tous ces points sont jetés aux talons dans cette affaire (négligés). Ainsi deux lectures ressortent. Soit l’Etat Burkinabè ne fonctionne pas correctement, soit ses services sont défaillants. L’une dans l’autre, c’est une injure vis-à-vis de l’Etat Burkinabè et il faut que ça cesse.
Lassina KO
Etudiant
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.