M. Obama a dit s'en remettre au ministère américain de la Justice alors que les autorités américaines tentent de convaincre la Russie d'expulser Edward Snowden afin de l'empêcher de s'enfuir dans un autre pays, comme l'Equateur auprès de qui il a demandé l'asile.
Peu avant, lors d'une déclaration d'une rare véhémence, le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, avait assuré que la décision de laisser partir de Hong Kong l'ex-consultant de l'Agence nationale de sécurité avait incontestablement un impact négatif sur les relations sino-américaines.
S'il est rattrapé par les autorités américaines, M. Snowden encourt 30 ans de réclusion pour ses révélations explosives sur les programmes de surveillance des communications.
AFP