Tous les meurtres crapuleux qui se passent actuellement en Centrafrique devront donc certainement être imputés à la responsabilité des autorités françaises tout comme ce fut le cas en Côte d'Ivoire, en Libye et aujourd'hui en RCA. Par le temps, nous saurons tous la vérité. Le génocide rwandais devait servir de leçon aux africains. Aujourd'hui, ils ont divisé la population centrafricaine et de façon sournoise. Et à aucun moment, on verra leur responsabilité en suivant leurs médias et les médias suiveurs et reporteurs de mensonges de chez eux vers chez nous. Notre presse se contente de reprendre les infos telles que annoncer par les médias occidentaux. Notre presse ne réfléchit, ne raisonne pas, n'analyse et reste dépendante car ils ont adopté la facilité dans leur noble tâche.
La meilleure arme des occidentaux dans les pays qu'ils manipulent à bon escient pour garder leur emprise sur les peuples africains qu'ils avaient colonisés, comme répété généralement par nos sages, reste aujourd'hui leur principe d'antan, celui de "DIVISER POUR RÉGNER". Aux africains maintenant d'être matures, d'en être conscients et surtout de se souder de par les frontières au lieu de les voir comme des obstacles à la coopération entre peuples africains et cela malgré toutes différences possibles de croyance, de religion, culture, de coutumes ou même de point de vue pour se concentrer à l'essentiel, la défense contre le pillage de nos pays avec l'appui de tous les peuples d'Afrique pour aller de l'avant et éradiquer toute forme de misère dans nos pays. Ils nous ont certes appris des choses mais ce n'est une raison de rester au fil des siècles à leur merci tout comme les richesses naturelles du continent. Il faut sonner le glas.
PS : ci-après une confidence d'un général de l'armée française actuellement en RCA.
Source : https://www.facebook.com/lanouvellecentrafrique (âmes sensibles s'abstenir d'aller sur ce site car il y a des images immondes).
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Sangaris : Même la CEEAC s'y met !
Gilles Deleuze | LNC
Dans un récent communiqué, la CEEAC, la Communauté économique des Etats d'Afrique centrale a fait savoir aux SANGARIS et aux MISCA d'être plus impartiaux dans leurs interventions en Centrafrique.
Le texte précis : La CEEAC appelle « la MISCA, l'Opération française Sangaris et le Gouvernement centrafricain à plus de coordination et d'impartialité dans leurs opérations militaires et policières, notamment dans le désarmement et le cantonnement des belligérants (anti-balakas, ex-Seleka) et autres forces négatives ».
Toujours est-il que, nous avions récemment questionné à propos un général français à la retraite qui a accepté de nous répondre uniquement sous anonymat.
Ce qu'il dit :
"A l'évidence on a envoyé nos gars là bas pour taper du musulmans [..] Comment comprendre autrement que nos soldats désarment les rebelles Séléka et les abandonnent ensuite à la merci des autres milices ?
C'est plus grave encore comme nous l'avons appris, qu'ils ne fassent rien pour protéger les civils musulmans en RCA. [...] Dans la mesure ou les Anti-Balaka ne sont pas désarmés, pour eux, c'est une invitation aux tueries. En cela, la Sangaris peut être jugée comptable de ces meurtres de civils par leur laisser faire. [...] De notre point de vue, les soldats ont oublié qu'ils étaient dans une guerre asymétrique ou l'ennemi n'est pas identifié, ni localisé, il mute constamment, et le tout dans un contexte urbain. La partialité des forces françaises est avérée puisque et Amnesty International, Human Right Watch et l'ONU ont également fait le constat et dénoncé officiellement.
Alors d'une chose l'une, soit le Général Soriano ne quitte pas son bureau pour voir ce qui se passe sur le terrain, soit il ferme les yeux.
Tout cela nuit gravement à l'image de marque de notre armée.
Heureusement, à travers votre media, nous avons appris que Paris allait réagir. C'est une très bonne chose. Car cela commence à prendre une dangereuse tournure politique."
© Février 2014 LNC