Il fait l'objet de critiques à Luanda depuis sa nomination par son père, le président Santos à la tête d'un fonds public d'investissement de 5 milliards de dollars. José Filomeno de Sousa dos Santos puisque c'est de lui qu'il s'agit, confirme la mainmise, l'emprise totale du clan Santos sur l'Angola. « Depuis, les critiques se multiplient contre une décision qui bafoue l'éthique et teintée de népotisme », informe le site Rfi.fr, qui souligne que « l'arrivée du fils du président dans les hautes sphères du pouvoir économique vient en effet parfaire un dispositif déjà très élaboré ».