Ce financement provient de la Banque islamique de développement (BID), du Fonds de l'OPEP pour le développement international (OFID) et de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA).
L'enveloppe vise à améliorer les conditions de vie des habitants de la ville de Ouagadougou, notamment ceux de la périphérie à travers la satisfaction de leurs demandes en eau potable d'ici à 2030.
La deuxième phase du Projet Ziga II a un coût global estimé à 104 milliards de FCFA.
L'appui permettra de desservir plus de 232 000 nouveaux bénéficiaires et contribuera à la continuité du service d'eau potable à l'ensemble de Ouagadougou et sa périphérie, soit plus de 2,5 millions d'habitants.
Le Projet Ziga II bénéficie du financement d'autres partenaires tels que la Banque mondiale et l'Agence française de développement (AFD).
TT/cat/APA