Il a formulé cette proposition ce mardi lors du Sommet de la Cedeao consacré à la crise burkinabé.
Il a en outre lancé un appel à toute la classe politique, aux autorités civiles et militaires, à toutes les forces vives du Burkina Faso, pour épargner ce pays du malheur d'un conflit.
‘'Si le pays bascule dans la violence, on ne parlera plus d'échéance électorale à respecter, ni d'urnes à convoyer, ni de bulletins de vote à décompter ; mais d'armes à convoyer, de morts et de blessés à compter'', a dit le président Sall
OF/APA