L'objectif recherché à long terme est un développement du secteur télécom, à travers l'amélioration de la couverture réseau et de la qualité des services Internet et voix, pour une contribution efficace à l'économie nationale. Plus le secteur produira des richesses générées par l'augmentation du volume de consommation des services télécoms sur des réseaux amélioré, plus le pays enregistrera des revenus croissants qui feront grimper son produit intérieur brut.
Pour faire grimper d'un cran le niveau de qualité des services, l'Arcep envisage d'ailleurs une attribution des licences de quatrième génération (4G) . « Nous avons proposé au gouvernement d'attribuer des licences à certaines personnes qui sont prêtes à mettre en œuvre des liaisons internationales pour améliorer la connectivité de notre pays (...) Cela permettra d'augmenter par la même occasion la bande passante internationale de notre pays », a indiqué Mathurin Bako. Actuellement c'est l'Office national des télécommunications Onatel qui supporte seul les charges relatives à la bande passante internationale.