Imprimer cette page

Le Gouvernement burkinabè adopte la matrice de performances de la SCADD

| 07.06.2015
Réagir
La première session de l’année 2015 du comité de pilotage de la politique sectorielle de l’économie et des finances (POSEF) s’est tenue le Jeudi 12 Mars 2015 à Ouagadougou. Ce cadre sectoriel de dialogue «économie et finance» a permis de dresser le bilan de la mise en œuvre du plan d’actions 2014 et de dégager des perspectives. La cérémonie était placée sous la présidence de Madame Amina BILA/BAMBARA, Ministre Délégué chargé du Budget, représentant le ministre de l’économie et des finances. Photo d'archives, utilisée à titre d'illustration
© © Photo : Ministère
La première session de l’année 2015 du comité de pilotage de la politique sectorielle de l’économie et des finances (POSEF) s’est tenue le Jeudi 12 Mars 2015 à Ouagadougou. Ce cadre sectoriel de dialogue «économie et finance» a permis de dresser le bilan de la mise en œuvre du plan d’actions 2014 et de dégager des perspectives. La cérémonie était placée sous la présidence de Madame Amina BILA/BAMBARA, Ministre Délégué chargé du Budget, représentant le ministre de l’économie et des finances. Photo d'archives, utilisée à titre d'illustration
Le Gouvernement burkinabé vient de rendre publique la matrice de performances 2016-2018 de la Stratégie de croissance accélérée et de développement durable (SCADD), a appris APA samedi auprès du ministère de l'Economie et des Finances.


Elaborée à travers un processus participatif, impliquant les acteurs gouvernementaux, la société civile, le secteur privé et les Partenaires techniques et financiers, la matrice officialise ainsi les perspectives prioritaires de la SCADD en matière de réformes stratégiques pour les trois prochaines années.

Parmi les actions et mesures prévues pour 2016 figurent le développement des pôles de croissance, la mise en place des fonds de développement et d'assurance agricoles, la réalisation des infrastructures de communication, la construction de logements sociaux et économiques, les appuis à l'insertion socio-économique des jeunes et des femmes, la construction d'infrastructures scolaires et universitaires, les actions de lutte contre le paludisme et les autres maladies, la réalisation du recensement général de la population et de l'habitation.

''La matrice adoptée couvre trois années (2016-2017-2018). En matière de programmation, plus l'horizon est loin, plus les incertitudes sont nombreuses et plus il y a des aléas. Donc, en ce qui concerne les années 2017-2018, elles sont purement indicatives. Ça pourrait être ajusté. Mais, pour ce qui concerne 2016, c'est impératif. En tout cas, ça va se traduire dans le budget de 2016 qui est en préparation'', explique Jean Gustave Sanon, le ministre de l'Economie et des Finances.

TT/cat/APA

Publicité Publicité

Commentaires

Publicité Publicité