Ce Contrat-plan, le 4ème du genre, se décline en trois programmes : l'amélioration de la connaissance géologique, hydrogéologique et minière du territoire national ; l'accroissement et la diversification du portefeuille des indices et des gites minéraux ; le contrôle de sécurité industrielle, minière et environnementale.
Le coût total de réalisation des activités programmées est évalué à 21,6 milliards de FCFA, soit un besoin de financement annuel moyen de 4,3 milliards de FCFA.
Le plan vise la prospection de minerais autres que l'or.
Selon les projections, la production d'or, premier produit d'exportation au Burkina Faso, devrait atteindre 40 tonnes en 2016.
Même si le métal jaune constituera pendant encore deux décennies le premier produit d'exportation du pays, l'heure est à l'option de diversification qui prend peu à peu forme.
Outre l'or, le secteur minier burkinabé compte grandement sur les perspectives encourageantes du manganèse, du cuivre, des phosphates, du zinc et des carrières, pour diversifier et doper le secteur.
TT/cat/APA