Située à une dizaine de kilomètres de la capitale, la centrale, à la finition, ''apportera des solutions viables et réalistes aux difficultés rencontrées dans le domaine de l'énergie, plus particulièrement le sous-secteur de l'électricité, et contribuera à la réduction des coûts et accroîtra la fiabilité de l'approvisionnement en électricité, et également d'ouvrir la voie à d'autres projets d'énergie solaire dans le pays'', selon ledit ministère.
Avec l'appui de l'AFD, de la Banque européenne d'investissement (BEI) à hauteur de 15 milliards de francs CFA et celui de l'Union Européenne, (16,3 milliards de francs CFA), la totalité du financement du coût de construction et d'exploitation est acquis à ce jour.
L'alimentation en énergie électrique du Burkina est assurée par des centrales électriques de l'ordre de 46%, hydrauliques, 8% et les importations d'énergie de la Côte d'Ivoire et du Ghana de l'ordre de 46%.
Aussi, la promotion des énergies renouvelables apparait donc comme une alternative pour booster le taux d'électrification à 75% d'ici 2020 (contre moins de 30% actuellement).
TT/cat/APA