Ce financement partiel permettra de démarrer les travaux de la phase I d'un coût d'environ 14 milliards de FCFA.
Considérée comme la plus grande retenue naturelle d'eau du Burkina Faso, le lac Bam constitue la première source de revenus pour plusieurs ménages de la région, au riche potentiel hydro-agricole et aurifère.
Le lac Bam qui s'étend sur 35 km avec un bassin versant de 2 610 m2 avait une capacité de stockage initiale de plus de 40 millions de m3 d'eau, une production halieutique de 820 tonnes par an avec une potentialité agricole de 2000 hectares.
Ces dernières années, toutes ces potentialités ont baissé du fait de sa dégradation constante et la réserve d'eau naturelle est menacée de disparition, d'où l'initiation d'un projet en vue de sa restauration.
TT/od/APA