Mais, actuellement certains de la sous-région, dont le Burkina Faso, exigent que le principe de rotation, inscrit dans les textes, soit enfin appliqué. Si à Abidjan, on assure avoir le soutien de la majorité des dirigeants des pays membres de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), rien n'est gagné, selon nos confrères de Jeune Afrique. Cette question sera sans doute au centre des discussions de la prochaines conférence des chefs d'Etat, prévue en septembre prochain.
La depeche diplomatique