L’institution est intéressée par les projets de construction de l’autoroute Ouagadougou-Yamoussokro, ainsi que les secteurs des mines et du solaire au Burkina Faso.

Dans le cadre du financement du nouveau Plan national de développement économique et social (PNDES 2016-2020), évalué à 15 000 milliards de F CFA, le gouvernement burkinabé veut séduire les investisseurs, indique-t-on.

Les discussions (en cours) avec les autorités burkinabé devront être couronnées par l'implantation dans le pays d’ici le premier trimestre de l’année 2017.

En adhérant à l’AFC, le Burkina Faso pourrait ainsi bénéficier de possibilités de prêts à des taux préférentiels pour financer des projets socio-économiques.

Fondée en 2007 et basée au Nigéria, l’AFC est détenue à environ 80 % par des institutions et entreprises nigérianes.

Regroupant à ce jour une quinzaine de pays africains, cette institution a investi, huit ans, près de 3,5 milliards de dollars en Afrique, dans les secteurs du transport et de l’électricité.