Ce montant représente le cumul des portefeuilles des trois partenaires au développement, pour couvrir les secteurs-clés de développement économique du pays.
Ces secteurs concernent entre autres, les infrastructures, le développement rural et durable, le développement humain, le secteur privé et la gouvernance économique et sociale.
Les trois institutions ont proposé aux autorités burkinabé d'examiner la possibilité de la mise en place d'un mécanisme conjoint de suivi et de définir un plan d'action à réaliser.
Les appuis des différents partenaires au développement du Burkina Faso sont alignés sur la Stratégie de croissance accélérée et de développement durable (SCADD) pour la période 2011-2015.
Ouagadougou s'est engagé à financer 63,3% de cette stratégie par ses propres ressources.
APA