Le financement est un prêt entre le Burkina Faso et l'AFD, pour une durée de 20 ans et au taux d'intérêt, de 1,41%.

Ce projet permettra, d'une part, l'amélioration des conditions socioéconomiques et sanitaires des populations de Ouagadougou et, d'autre part, le développement d'une urbanisation rationnelle et la consolidation d'une gouvernance locale.

Selon la mairie de Ouagadougou, les trafics moyens journaliers dans la capitale sont de 18500 pour les engins à deux roues et 6500 pour les véhicules particuliers à quatre roues.

Quant au réseau routier de Ouagadougou, le constat a été fait qu'il manque de voiries aménagées et assainies.
Ouagadougou connaît des problèmes de voiries, d'accessibilité aux quartiers périphériques, ainsi que de couverture en eau potable.

La population de Ouagadougou, estimée à 2,3 millions d'habitants en 2013, devrait atteindre 4,5 millions en 2030. Ce qui suscite des besoins constants d'amélioration et d'extension de ses infrastructures et services, en particulier dans le secteur de l'eau.

Les autorités burkinabé fondent l'espoir que ce projet facilitera l'accès d'un plus grand nombre de Ouagalais aux services d'assainissement et d'eau.